Depuis déjà de nombreuses années, comme le reste de la France, le marché du littoral de Loire-Atlantique ne cesse de grimper.

La crise sanitaire liée au Covid-19, que nous traversons actuellement a eu un effet inattendu sur le marché immobilier, loin de ralentir, il a rebondi… Attention tout de même aux diverses intentions des potentiels acheteurs qui souhaitaient changer de mode de vie après le confinement pour acquérir un logement avec espaces extérieurs.


La demande n’a augmenté que de quelques pourcents sur le secteur de La Baule, Pornichet et Le Pouliguen.

Aujourd’hui, la demande devient plus soutenue et donc supérieure à l’offre,
tous les biens immobiliers comme les maisons d’une superficie entre 70 et 100m² ainsi que les appartements de 2 pièces et 3 pièces avec balcon, terrasse, ont vus leur prix de vente partir à la hausse.
Ce marché est à double facettes avec une accalmie entre le mois de Novembre et Février en général ; actuellement il n’y a pas de réelle pause et la demande de recherche immobilière sur le secteur évolue plus vite que l’offre de biens mis à la vente.


Il est à ce jour plus compliqué de vous fournir une évaluation ferme de vos biens immobiliers et nous nous retrouvons dans l’obligation de vous délivrer une fourchette plus large entre le prix de mis en vente et la réelle estimation de votre bien.
En revanche, les vendeurs (propriétaires sur le littoral) se posent la question d’acheter avant de mettre en vente par la suite, moyennant l’obtention d’un prêt relai pour se rassurer de bien trouver leur futur logement.
La présence d’une gare reliant Paris en TGV en 3 heures est un levier pour décider des acquéreurs à se lancer plus rapidement dans leurs projets, due aussi à l’évolution du télétravail.

La demande actuelle plus élevée que l’offre sur les alentours Baulois, à ce jour, minimise la différence de prix au m² entre les différentes localisations plus ou moins attrayantes ainsi qu’entre les étages dans un immeuble des biens mis en ventes.

Le dynamisme est bien là pour le moment, mais jusqu’à quand…

Nikola Fidancev